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20 septembre 2019

Gaëlle Maas, partage des vivants

partage-des-vivants-gaelle-maas

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20 septembre 2019

Jérémy Damien

Carbone 14 N°45 300dpiCarbone004 300dpi

La proie pour l'ombre N°32 300dpi

Carbonne 14 n°45 / Carbonne 004 / La proie pour l'ombre n°32

J’ai le souvenir d’un tableau de Mirò vu à la fondation Maeght devant lequel j’ai eu le sentiment d’un travail encore en cours, la toile était aux trois quarts peinte de bleu, seule une surface vierge laissée entrevoir la mise au carreau restant visible. Je pouvais discerner quelques esquisses de motifs et s’en était resté là.

Ce geste suspendu laissait apparaître les fondations d’une composition inachevée, une transparence dans la matière et le temps qui en devenait poétique dans sa faculté à révéler son inachèvement perpétuel.

Mon travail trouve du sens lorsqu’un potentiel d’ouverture spatiale est généré dans la composition, si je ne suis pas attentif à restituer cet équilibre, quelque chose, alors, s’éteint inexorablement.

Peut-être l’intérêt de peindre en lui même.

Appelons cela un travail du discernement.

Jeremy Damien

16 septembre 2019

Gaëlle Maas, feu follet

Feu-follet-bleu-Laurent-Chedmail

16 septembre 2019

Gaëlle Maas, dessins "errants", 1, 2, 3

dessin_1-errants-gaelle-maasdessin_3-errants-gaelle-maas

 

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15 septembre 2019

errance14

errance 14aerrance 14b

errance 14cerrance 14d

errance 14e

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15 septembre 2019

Kiyo Gutierrez, Un muro que parte el cuerpo en dos, octobre 2018, Guadalajara (Mexico)

Imagina que tienes que dejar tu hogar.

Imagina caminar miles de kilómetros.

Imagina que te llaman ilegal.

 

(photos en attente car actuellement nonautorisées à être publiées)

 

Un muro que parte el cuerpo en dos. Performance presentada en la ciudad de Guadalajara, México en octubre 2018 como respuesta ante las reacciones de xenofobia e intolerancia provocadas por la caravana migrante de centroamericanos que se dirigía hacia Estados Unidos. 

 

Esta acción es un llamado a la solidarización y a la empatía ante aquellxs que se ven obligadxs a migrar para sobrevivir.

 

 

 

 

Créditos:

Performance: Kiyo Gutiérrez

Fotografía: Pistor Orendain

15 septembre 2019

Gaëlle Maas, reférence : Myriam Cahn + Judit Reigl

Gaëlle Maas nous envoie, par mail le 13 septembre ces deux images des artistes Miriam Cahn et d'une deuxième dont le nom elle n'a pas encor trouvé le nom, ayant vécu et oeuvré à la Fondation Chirac (La Courtine). je lui réponds avec une image d'un' peinture de Judit Reigl, "Corps sans prix", 2017, et l'invite à nous envoyer un ou plusieurs dessins de sa main. 

miriam-cahnJudit Reigl

 

 

 

IMG_20190913_122150_012

3 septembre 2019

errance13

errance 13aerrance 13b

errance 13cerrance 13d

1 septembre 2019

Pour une poignée de lettres 11 - julie

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collage

27 août 2019

Sans titre-1

27 août 2019

Liste de mots pour un titre (à compléter)

errances

douces errances

errances à partager

la main

l'arbre et la main

l'arbre le pied et la main

empreintes

douces empreintes

l'oeil l'oreille la peau la langue

peau

terre silence peau 

le bruit de la terre

Revue R  sous entendu Erre, Air, Aire, èrre (+ r= langage informatique) et aussi phonétiquement :  ca gronde, ca grogne

27 août 2019

CONTRIBUTION MARIE SIRGUE / "Mes errements sont musicaux et radiophoniques"

Marie Siruge a répondu à l'appel à contribution à notre revue par un lien, qu'elle m'a envoyé le 25 août dernier, pendant sa résidence à 2 Angles (Flers). Elle m'a également envoyé cette photographie qu'elle a prise  dans une filature en ruine (Flers), à laquelle j'ai associé une photo d'archive trouvée sur internet. 

https://www.arteradio.com/emission/un_podcast_soi

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25 août 2019

DOACKS, poésie au présent, Julien Blaine

Doc(k)s, Revue où politique et poésie semblent se trouver intimement liées sans pour autant que la poésie s’en trouve diminuée, bien au contraire. Revue où la poésie apparait offensive, combattante, immédiate et joyeuse. Revue où la poésie a su être au présent.

34436832

Doc(k)s est une revue de poésie contemporaine, qui explore les formes visuelles, sonores et expérimentales qui ont marqué le xxe siècle. Elle a été  fondée en France en 1976, par Julien Blaine, poète, qui en assume la direction et l'édition jusqu'en 1989.  est actuellement dirigée et éditée par Akenaton. 

 

25 août 2019

RHIZOME / NOMADOLOGIE

Extrait de Mille Plateaux de Gilles Deleuze et Félix Guattari

 (…) à la différence des arbres ou de leurs racines, le rhizome connecte un point quelconque avec un autre point quelconque, et chacun de ses traits ne renvoie pas nécessairement à des traits de même nature, il met en jeu des régimes de signes très différents et même des états de non-signes. Le rhizome ne se laisse ramener ni à l’Un ni au multiple. Il n’est pas l’Un qui devient deux, ni même qui deviendrait directement trois, quatre ou cinq, etc. il n’est pas un multiple qui dérive de l’Un, ni auquel l’Un s’ajouterait (n + 1). Il n’est pas fait d’unités, mais de dimensions, ou plutôt de directions mouvantes. Il n’a pas de commencement ni de fin, mais toujours un milieu, par lequel il pousse et déborde. il constitue des multiplicités linéaires à n dimensions, sans sujet ni objet, étalables sur un plan de consistance, et dont l’Un est toujours soustrait (n - 1). Une telle multiplicité ne varie pas ses dimensions sans changer de nature en elle-même et se métamorphoser. A l’opposé d’une structure qui se définit par un ensemble de points et de positions, de rapports binaires entre ces points et de relations biunivoques entre ces positions, le rhizome n’est fait que de lignes : lignes de segmentarité, de stratification, comme dimensions, mais aussi ligne de fuite ou de déterritorialisation comme dimension maximale d’après laquelle, en la suivant, la multiplicité se métamorphose en changeant de nature. On ne confondra pas de telles lignes, ou linéaments, avec les lignées de type arborescent, qui sont seulement des liaisons localisables entre points et positions. A l’opposé de l’arbre, le rhizome n’est pas un objet de reproduction : ni reproduction externe comme l’arbre-image, ni reproduction interne comme la structure-arbre. Le rhizome est une antigénéalogie. C’est une mémoire courte, ou une antimémoire. Le rhizome procède par variations, expansion, conquête, capture, piqûre. A l’opposé du graphisme, du dessin ou de la photo, à l’opposé des claques, le rhizome se rapporte à une carte qui doit être produite, construite, toujours démontable, connectable, renversable, modifiable, à entrées et sorties multiples, avec ses lignes de fuite. Ce sont les calques qu’il faut reporter sur les cartes et non l’inverse. Contre les systèmes centrés (même polycentrés), à communication hiérarchique et liaisons préétablies, le rhizome est un système acentré, non hiérarchique et non signifiant, sans Général, sans mémoire organisatrice ou automate central, uniquement défini par une circulation d’états. Ce qui est en question dans le rhizome, c’est un rapport avec la sexualité, mais aussi avec l’animal, avec le végétal, avec le monde, avec la politique, avec le livre, avec les choses de la nature et de l’artifice, tout différent du rapport arborescent : toutes sortes de “devenirs”. Un plateau est toujours au milieu, ni début ni fin. Un rhizome est fait de plateaux.

(…) Nous appelons “plateau” toute multiplicité connectable avec d’autres tiges souterraines superficielles, de manière à former et étendre un rhizome. Nous écrivons ce livre comme un rhizome. Nous l’avons composé de plateaux. (…) Chaque plateau peut être lu à n’importe quelle place, et mis en rapport avec n’importe quel autre. Pour le multiple, il faut une méthode qui le fasse effectivement ; nulle astuce typographique, nulle habileté lexicale, mélange ou création de mots, nulle audace syntaxique ne peuvent la remplacer. Celles-ci en effet, le plus souvent, ne sont que des procédés mimétiques destinés à disséminer ou disloquer une unité maintenue dans une autre dimension pour un livre-image.

Techno-narcissisme. (…) En aucun cas nous ne prétendons au titre d’une science. Nous ne connaissons pas plus de scientificité que d’idéologie, mais seulement des agencements. Et il n’y a que des agencements machiniques de désir, comme des agencement collectifs d’énonciation. Pas de signifiance, et pas de subjectivation : écrire à n (toute énonciation individuée reste prisonnière des significations dominantes, tout désir signifiant renvoie à des sujets dominés). Un agencement dans sa multiplicité travaille à la fois forcément sur des flux sémiotiques, des flux matériels et des flux sociaux (indépendamment de la reprise qui peut en être faite dans un corpus théorique ou scientifique). On n’a plus une tripartition entre un champ de réalité, le monde, un champ de représentation, le livre, et un champ de subjectivité, l’auteur. Mais un agencement met en en connexion certaines multiplicités prises dans chacun de ces ordres, si bien qu’un livre n’a pas sa suite dans le livre suivant, ni son objet dans le monde, ni son sujet dans un ou plusieurs auteurs. Bref, il nous semble que l’écriture ne se fera jamais au nom d’un dehors. Le dehors n’a pas d’image, ni de signification, ni de subjectivité. Le livre, agencement avec le dehors, contre le livre-image du monde. Un livre-rhizome, et non plus dichotome, pivotant ou fasciculé. Ne jamais faire racine, ni en planter, bien que ce soit difficile de ne pas retomber dans ces vieux procédés. “Les choses qui me viennent à l’esprit se représentent à moi non par leur racine, mais par un point quelconque situé vers le milieu. Essayez donc de les retenir, essayez donc de retenir un brin d’herbe qui ne commence à croître qu’au milieu de la tige, et de vous tenir à lui” (Kafka,Journal). Pourquoi est-ce si difficile ? C’est déjà une question de sémiotique perspective. Pas facile de percevoir les choses par le milieu, et non de haut en bas ou inversement, de gauche à droite ou inversement : essayez et vous verrez que tout change. Ce n’est pas facile de voir l’herbe dans les choses et les mots (Nietzsche disait de la même façon qu’un aphorisme devait être “ruminé”, et jamais un plateau n’est séparable des vaches qui le peuplent, et qui sont aussi les nuages du ciel).
On écrit l’histoire, mais on l’a toujours écrite du point de vue des sédentaires, et au nom d’un appareil unitaire d’Etat, au moins possible même quand on parlait de nomades. Ce qui manque, c’est une Nomadologie, le contraire d’une histoire.

(…) Les nomades ont inventé une machine de guerre, contre l’appareil d’Etat. Jamais l’histoire n’a compris le nomadisme, jamais le livre n’a compris le dehors. Au cours d’une longue histoire, l’Etat a été le modèle du livre et de la pensée : le logos, le philosophe-roi, la transcendance de l’Idée, l’intériorité du concept, la république des esprits, le tribunal de la raison, les fonctionnaires de la pensée, l’homme législateur et sujet. Prétention de l’Etat à être l’image intériorisée d’un ordre du monde, et à enraciner l’homme. Mais le rapport d’une machine de guerre avec le dehors, ce n’est pas un autre “modèle”, c’est un agencement qui fait que la pensée devient elle-même nomade, le livre une pièce pour toutes les machines mobiles, une tige pour un rhizome (Kleist et Kafka contre Goethe).

source: http://www.edouardglissant.fr/rhizome.html

rhizome lycopodium

 

Rhizome_detail_MC

 

 

24 août 2019

présentation revue --> en cours

Notes sur la revue

---> source Wikipédia

de maniere générale une revue = periodique, point de vue critique, actualié qui a lieu ici ou ailleurs, outils de reflexion et de liaison vis a vis d'un lecteur, production inédites et support pour communiquer des travaux (frere lumiere), peut contenir critique littéraire, philosophique, théologique, historique, politique. terrain de partage, de diffusion et d'explication des savoirs.

= l'étendard d'une nouvelle école de pensée, le lieu d'un manifeste, l'endroit où exprimer ses découvertes

Olivier Corpet6 parle, lui, d'une « passion revuiste » qui prend place au tournant des années 1900, et la revue peut être considérée à la fois comme un terrain de « création solitaire, une communauté utopique et un espace expérimental ». Ces trois caractéristiques, avec l'apparition des moyens d'expressions numériques en ligne, sont aujourd'hui réévaluées par la notion de coût : de nombreuses revues éditées sur papier tendent à se déplacer sur Internet, et dans un même mouvement, de nombreuses revues apparaissent directement en ligne sans passer par une édition papier (mais sans s'interdire la possibilité d'éditer une version imprimée).

 

https://www.entrevues.org/revuetaxo/arts-plastiques/  -- a voir vraiment cela peut bien nous aider!!

https://revueencres.com/

 

Début de reflexion pour nous.

  • Le pourquoi de la revue :

L'artiste est un capteur- revelateur, il digère et restitue, il transmet. Dans cette revue, il y a la volonté de communiquer et d'ouvrir un terrain d'échange avec d'autres personnes (plasticiens, théoriciens, poetes, musiciens, journalistes, auteurs...), se questionner et se positionner dans le monde en tant qu'artiste et "habitant de la terre" pour reprendre les mot de Valérie Cabanes, jusriste en droit internationnal et spécialisé dans les droits de l'homme. 

  • fonction/objectif : poétique et politique

               Poesie parce que nous la considérons comme fondamentale, vitale,libre, nourriture terrestre, appétit de la curiosité et sentiment de notre existance au monde et au présent pour nous permettre de mieux l'habiter.

              - reunir et confronter différentes pratiques et points de vue autour d'un theme annuel.

             - la revue est un objet qui peut se transmettre de main en main, se prette, s'offre facilemant.

Prix minimum 2/3 euros? (pq le prix : eviter le gaspillage, investissement dans l'appropriation de cet objet, "tout n'est gratuit"

 

  • la génèse :Cette revue commence avec une rencontre et chaque numéro est le partage de nouvelles rencontres,Chaque numéro se s'élabore autour d'un thème annuel.  sur le thème de l'errance. Trés vite afin de develloper nos recherches respectives nous avons ouvert les propostions de travail à d'autres plasticiens et auteur.
  • le contenu : travaux d'auteur, d'artistes, poetes pour le moment. possiblité d'y intégrer des théoriciens, ou critiques

                production pour la revue, uniquement.

 

  • Etat des lieux :  à l'heure actuelle, les documents recoltés sont au nombre de 6 participations.
  • titre potentiel :  Revue R  sous entendu Erre, Air, Aire, èrre (+ r= langage informatique) et aussi phonétiquement :  ca gronde, ca grogne

                                  

 

  • date / periode de publication : mars avril prochain
  • delais de remise des contributions : 30 septembre 2019

 

  • forme/format : 17x24cm, format qui rentre dans un sac, facilement transportable, sans trop prendre de place.

                                     en fonction des themes la revue ne pourrait-elle pas prendre une forme particuliere adaptée a son sujet?

                                    ex : revue errance pourrait se déployer dans l'espace de maniere désordonnée,

                                          revue "save our planet" pourrait etre uniquement en papier recyclé

                                          revue corps une fois ouverte pourrait etre tellement grande que quand on l'ouvre, elle implique a sa lecture tout le corps.

  • nombre de pages : entre 50 et 100 (pleines pages, double pages + edito, sommaire, credits, information complémentaire)
  • colorimétrie : a voir en fonction du budget.
  • typographie : typo classique type : garamond, verdana, Arial, Calibri
  • choix éco-responsables : papier recyclé dont les fibre proviennent de forets durablement gérées. Encre sans solvant.

                                                      travailler avec des imprimeurs dont la proximité géographique nous permet de limiter notre empreinte écologique

                                                      combiné un format numérque afin de limiter le nombre d'impression papier.

  • thèmes potentiels : le corps et le geste

                                             save our planet           

  • financement possibles :        

- collectif acte

- region nouvelle aquitaine - demande d'aide à la création.

  •  contributeurs (confirmés et à venir):  Kouam Tawa (auteur, dramaturge, scénographe), Jérémy Pengam (artiste-plasticien), Hemali Butha (artiste-plasticienne), Gaëlle Maas (artiste-plasticienne), Laura Tangre (artiste réalisatrice), Marie Sirgue (artiste-plasticienne), Gérard Hauray (artiste-plasticien), Philippe Pozzo di Borgo (citoyen de la Terre, penseur), Kiyo Gutierrez (artiste-plasticien), Benoît Pierre (artiste-plasticien), Gisela Linschinger (journaliste, auteur), Hervé Vachez (artiste-plastcien), Rémi Voche (artiste-plastcien), Dominique Truco (directrcie artistique et poète), Anna Byskov (artiste-plastcienne), Jérémy Damien (artiste-plastcien), Julien Blaine (poète intégral), Julie Monnet (artiste-plastcien), Fanny Guérineau (artiste-plastcien)
21 août 2019

un peu de point

Quand Fanny Alamer m'a proposé de dialoguer sur le thème de l'errance, instinctivement ou intuitivement je me suis mise à faire des poèmes avec les lettres d'un scrabble que j'ai très vite nommé « pour une poignée de lettres ». Difficile pour moi aujourd'hui de retracer la genèse de cet acte. Voici une liste exhaustive de pensées qui me venait soudainement en tête tel des dominos.

    • trouver une forme de liberté dans l'acte de faire.

    • Mais oui ! les lettres du scrabble !

      j'ai très souvent fait ça en le pensant comme un autour du travail mais par comme le travail, ou plutôt comme « une non démarche », une pensée libre, errante, sans contraintes, si ce n'est celle de se laisser guider par ce que la pioche des lettres me donnait. Des poèmes de la nuit ou le conscient se laisse aller vers un inconscient éveillé.

    • Le titre pour « poignée de lettres » / = pour trois broutilles /= pour 3 x rien

      → juste pour le plaisir, pour le jeu, pour sourire pas pour rire mais pour sourire.

      → une mise sans gros risques.

    • pour le plaisir de susciter un peu de hasard.

    • « poignée de lettres » : Mallarmé / « un coup de dés jamais n'abolira le hasard », Filliou, Fluxus,.

      Fanny , me le rappelle

 

==> Fluxus qui es-tu ? Dada qui es-tu ? Internationale situationniste qui es-tu ? La poésie concrète qui es-tu ? Et ensemble vous faites quoi ? Quels sont exactement vos miroitement, vos facettes communes ? Même si l'exact vous emmerde.

Michel Giroud êtes vous la ?

 

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Quelle place peut prendre « pour une poignée de lettre » dans mon travail ? quelle place je lui donne ? J'ai cette impression qu'il sont paradoxalement opposés, peut être faussement opposés.

=> pourquoi certains conceptuels ont fait parti de fluxus ?

 

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--------> Fluxus /errance ? /Dérive ?

            Rapport ? Errance/ Dérive ?

21 août 2019

Pour une poignée de lettres 10 - julie

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21 août 2019

Pour une poignée de lettres 9 - julie

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21 août 2019

Pour une poignée de lettres 8 - julie

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mise en forme

19 août 2019

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